le voici:
L'ami Max a publier un blogue hier a propos d'un peu de tout sur l'actualité de cette semaine. En tant que père, il a été, comme la plus part des père, toucher par l'histoire horrible qui s'est dérouler à Piedmont il y a quelques jours...
Comme son billet m'a touché aussi autant que l'histoire derrière tout ça, j'ai émis un long commentaire sur son blogue. Le voici en version purifier:
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C'est la dur réalité des gars Max. A part quelques gars qui sont capable "s'ouvrir", la majorité a mal en silence, souffre en silence et le silence se fait malheureusement entendre un moment donnée. Que ce soit de cette façon, par l'alcoolisme, la dope ou même le jeu, le silence n'est jamais sourd lui !
Un gars qui a mal en silence ne peux appeler au 911 a moins d'avoir un déclic de dernier instant. C'est pas dans les gènes male de demander de l'aide. Imagine, même suicide action n'ont pas assez de ligne téléphonique, parfois c'est "engagé". Donc, celui qui tente l'ultime et se tourne vers le téléphone n'arrive même pas a avoir une ligne, une personne, une oreille...Imagine la suite !
Bien sur que je ne veux pas mettre TOUT les gars dans le même panier. Ne suis-je pas moi même un gars qui a passer par un foutu bout platte, ne suis-je pas moi même un gars avec qui le goût de flyer vers d'autres lieux plus "sereins" a plus que froller l'esprit. J'aurai pas eu le "guts" d'apporter ma famille comme celui de Piedmont, mais ca aurai laisser des marques... De grandes cicatrices profondes. Mais j'ai décidé de faire autre chose car cette "solution" ne représente qu'une chose toute simple: Le goût profond de ne plus avoir ce mal. Le goût de vouloir être bien. Un chose toute simple qui ressemble a une montagne insurmontable quand on y est.
Ouff, moi aussi j'ai fait ce bout en silence...Non, pas tout a fait en fait. J'ai consulter mais j'ai jamais vraiment eu en moi ce "gars stéréotypé". Par chance... Par chance pour moi, pour mes filles.
Le chemin de la souffrance intérieur, provenant de diverses obstacles toutes aussi personnel les une que les autres, n'est pas une mince affaire. Regarde les pubs sur le burn-out ! Les gars "burner" passe pour des lâches, des fainéants... On ne peux même pas en parler avec les collègues de travail, les gars avec qui on passe le plus clair de notre temps car c'est gars là on leur hostie de carapace de gars...Leur carapaces de "pas une tapette" !! Fuck Max, c'est pas évident d'être un gars parfois ! Et loin de moi l'envie de me "stéréotyper"...Vraiment loin cette envie !!
Faut pouvoir s'ouvrir mon ami. C'est le secret du secret ! Faux continuer a être des gars d'une classe a part Max ! Si je passe pour une "tapette" ben tant pis et tant mieux !! Je sais pertinemment que je vivrais mieux ainsi et que si un jours je croise un des miens qui ne file pas, je sortirai ma "tapette a blues" et prendrai une tite frette avec l'autre question d'être là pour un des miens ! Un frère d'âme !!
Prenons le temps de pensez a ce gars, prenons le temps de demander a ces petits parti trop tôt de pardonnées a leur petit papa qui n'a pas su !
Mario en mode "tapette"
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Voilà ma toute personnel vision de cette histoire. Histoire qu'on entends trop souvent. Histoire qui se répète et se répétera malheureusement ! On a le choix dans la vie. On a le choix de changer ou de rester les pieds dans la marde jusqu'à sombrer de plus en plus. S'enliser. Chacun ses choix, chacun son chemin. Le mien me plaît... Et le tien ?
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